mardi 25 août 2015
WONDERSHOCK - CORÉE - 3/7 PIXEL PSYCHÉ 2
Dans une deuxième partie de l'atelier les enfants ont composé avec Sylvain ( Gangpol ) et Stéphane ( Domotic ) des musiques inspirées des compositions de la première phase d'atelier.
Dans cette troisième partie de l'atelier les enfant étaient invités a créer des séquences d'animation en photographiant image par image les dessins abstraits : les 2 fresques de 10 mètres que nous avons conçu dans la partie un de l'atelier.
L'idée créer une séquence graphique abstraite. Ajouter le mouvement et le séquençage à la logique d'abstraction déjà présente dans la première partie.
C'est un atelier assez exigeant dans la demande. Hélas les résultats furent assez décevant. Faute de temps, nous n'avons pas pu faire passer je pense cet esprit d'abstraction en mouvement. D'animation formaliste comme une pure sensation de forme, de mouvement et de couleur.
Oskar Fishinger, Len Lye, Norman Mc Laren, ces trois grands noms de l'animation étaient un peu les sources d'inspiration de cette partie. L'atelier fut tellement intense dans sa gestion que nous n'avons pas eu le temps de montrer certains de leurs films ( Optical poem, Free radicals, Lignes verticales ) que nous avions préparer. Sans doute la vision de ces films aurait pu leur faire mieux comprendre ce qu'il est possible de faire.
Au final ces séquences on été monté bout à bout et projeté sur un grand écran construit en partie par les enfants. Les musiques composées dans la partie 2 accompagnaient la projection. C'était malgré tout intéressant je pense pour les enfants d'être confrontés à une démarche aussi formaliste avec un rendu final assez spectaculaire dans sa présentation.
L'écran construit par Xavier et les enfants.
La projection lors de la restitution.
Nous leurs avons aussi proposer de créer une composition en recadrant leur croquis. Cette composition devait être ensuite intégrée sur une grille en respectant le carreau. Cette partie de l'atelier était pensée comme un exercice de précision.
Face au nombre d'enfants à gérer, nous avons vite été débordé et les enfants on collé leur travail sans qu'on vérifie avant. D'où l'approximation du collage dans la plupart des cas. Il y avait beaucoup trop d'enfant pour faire ce genre de chose. Ça demande un regard appuyé sur chaque participant. Impossible dans ce contexte ou il y avait trop de chose à gérer.
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